15 prisonnières palestiniennes en situations tragiques
Le Centre d'études des prisonniers a confirmé que la situation des prisonnières dans la Prison de Hasharon est insupportable, en ajoutant que 15 entre elles souffrent de l'insouciance médicale et le manque de soins de santé et les soins médicaux et de retard des opérations.
Le Centre a ajouté qu'il y a des graves violations commises par la direction des prisons envers les prisonnières telles que les cellules, les inspections, de l'éducation sur la prévention et privation de visites, l'isolement cellulaire, les punitions et des amendes, en plus de la brutalité des arrestations, les méthodes d'enquête physiques et mentales, la privation des enfants, la négligence médicale, la détention dans des lieux indignes, l’agression par la force à toute tension, le mauvais traitement pendant leurs sorti aux tribunaux et les visites, des obstacles empêchant l’entrée des livres pour les prisonnières qui passent la plupart de temps incarcérées, la mauvaise qualité et quantité de nourriture, ainsi qu’autres violations.
Le Centre a confirmé qu'il y a 15 prisonnières qui souffrent extrêmement dans les geôles israéliennes à la suite de la libération, aujourd'hui, de la prisonnière Mayassar Atiyani et qui sont: (Lena Jerboni - Hassanet Anaam – Intissar Sayad - Ala Zitoun - Inam Colombo - Nawal Saadi - Mona Ka'adan - Nahil Abou Aisha - Tahrir Algueny – Dina Waked - Ayat Mahfouz - Fadwa Ghanem - Lama Haddaadh –Montaha Alhih- Rana Abu Kwik).
Pour sa part, l’ex-prisonnier libéré Raefat Hamdouna, directeur du Centre d'études des prisonniers a lancé un appel aux institutions internationales, dirigé par la Croix-Rouge et les droits des Nations Unies et de l'homme, des organisations humanitaires, des associations et des centres concernés à exercer des pressions sur l'occupation, pour arrêter ses violations continuelles contre les prisonnières . Ainsi a appelé les centres qui s’occupent des problèmes des femmes et tous ceux qui s’occupent de la cause des prisonniers et des détenus à assumer leur responsabilité pour garantir les droits des prisonniers et de travailler à leur libération.
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