Une Fondation juridique qui s'occupe des affaires des captifs palestiniens a confirmé que les geôliers israéliens ont refusé les demandes des prisonnières palestiniennes d'améliorer leurs conditions de vie et de leur fournir certains besoins privés pour elles, au cours du mois béni de Ramadan.
Un communiqué publié par le Centre des captifs de la Palestine pour les études a déclaré que l'occupation détient encore 15 captives palestiniennes dans ses prisons, après la libération de la prisonnière Heba Abou Rezk de Bethléem, qui est mère de deux enfants.

Les prisonnières palestiniennes vivent des conditions très difficiles dans les geôles de l'occupation israélienne, où elles n'ont aucune intimité, car l'occupation surveille leurs moindres faits et gestes lorsqu'elles sortent dans la cour de la prison ou dans les passages de la prison, via des caméras installées pour cette raison, en plus de leur emprisonnement avec des détenues criminelles sionistes, ce qui représente une menace pour leur vie.